Milieu hospitalier
Pour les patients
J’ai souhaité me rapprocher du milieu médical au travers de la discipline de la sophrologie pour les patients. J’ai intégré le service du CRCM (Centre de Recherche et de Compétences de la Mucoviscidose) en pédiatrie et pour les adultes afin de proposer des accompagnements individuels.
Bien qu’encore parfois méconnue, la pratique de la sophrologie tend à se développer dans les Hôpitaux. Elle trouve de plus en plus sa place dans l’accompagnement de la maladie à différents niveaux, en lien très étroit avec les équipes médicales qui accompagnent les patients. Des personnes y ont recours pour des maladies telles que la sclérose en plaque, la maladie de Parkinson, certains cancers et leucémie, la mucoviscidose, la fibromyalgie…
En complément des traitements médicamenteux, la sophrologie vise un mieux-être des patients en leur permettant d’être plus ancrés, plus sereins, de se libérer des tensions existantes afin de se réapproprier leur corps. La sophrologie permet un véritable travail sur les douleurs physiques, mentales et émotionnelles et vise à l’autonomie du patient afin de lui transmettre des outils et des exercices qu’il pourra reproduire dans son quotidien.
L’objectif de cette pratique est d’aider les patients à retrouver confiance en eux, à intégrer les sensations agréables et donc à trouver une harmonie corps et esprit malgré la maladie. Elle permet de laisser venir la détente, d’observer les effets sur soi. Parfois, les patients vont éprouver une sensation de sécurité, d’ancrage, de relâchement, parfois même une sensation de liberté.
Des cycles de méditation de pleine conscience sont également possible pour les patients.
Pour les équipes
Aujourd’hui, les professions de soins se sensibilisent de plus en plus aux méthodes de pleine conscience. Je dispense des programmes de pleine conscience à destination des professionnels du soin sur un cycle de découverte de 8 séances dans un premier temps, afin d’acquérir les bases de la pleine conscience.
Il est ensuite possible de lancer d’autres cycles selon les difficultés rencontrées au quotidien dans son travail de soignant, que ce soit des douleurs physiques et/ou émotionnelles, le souhait de pouvoir mieux réguler les émotions et la communication interpersonnelle.
L’entrainement à l’attention se développe sur une même base: orienter l’attention, délibérément, sur les sensations, les perceptions. Dans ce contexte, les soignants partagent un même acte profondément altruiste et régénérant : donner de l’attention.
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